Léo Westermann : ''On sent qu’il y a une histoire, un vécu, un passé''

Léo Westermann : ''On sent qu’il y a une histoire, un vécu, un passé''

Léo Westermann - Limoges CSP

Léo Westermann a été le premier limougeaud à fouler le parquet de Beaublanc et à cette occasion, il avait tweeté que ça « puait le basket ». Dans une interview pour le site officiel, il est revenu sur sa découverte de Beaublanc

 

Quand tu vois ces travées, ces fanions, ces maillots retirés, c’est vrai que ça pue le basket ici (sourire). On sent qu’il y a une histoire, un vécu, un passé. C’est très important pour un club et ici c’est très poussé comme culture. Personnellement j’adore ça. J’adore ce genre de salle, de club. C’était pareil au Partizan comme ressenti. A l’ASVEL aussi il y avait une histoire, des grands joueurs du passé. Mais au Partizan, quand tu passais dans les couloirs et que tu voyais les photos des coachs, des joueurs… C’est exactement comme ici avec des Dacoury, Ostrowski … C’est magnifique pour moi d’évoluer dans cet environnement d’autant plus qu’à la fin de la saison c’est Limoges qui a été le plus actif, le plus décidé à me faire venir.

 

Et sur sa préférence pour le basket européen plutôt que pour la NBA

 

Je suis dingue du basket européen. J’ai grandi avec le grand Barca, le grand Pana. Des clubs, des villes avec une énorme tradition basket. Le CSP fait partie de cette famille de légendes, avec une grande histoire en Europe. Et me retrouver ici l’année où on retrouve l’Euroleague c’est énorme. Ma drogue à moi c’est L’Euroleague ! La NBA pourquoi pas un jour, c’est très attrayant, mais à condition d’y avoir un vrai rôle, d’être capable d’apporter quelque chose à l’équipe et non pas de regarder les autres jouer depuis le banc. Mais comme je disais mon style de jeu, ma drogue ce sont ces matchs d’Euroleague, énormes d’intensité et de folie.